lundi 28 février 2011

lundi 31 janvier 2011

Les cartes postales érotique des années 1900





Dès l’origine de la photographie la production de clichés de nus intéressent beaucoup de monde.
Les modèles féminins ou masculins des peintres ou des sculpteurs n’ont aucuns problèmes de poser pour les photographes à la recherche de clichés de nus.
Quand les demandes des photographes deviennent de plus en plus érotiques voir plus, ils ne se gênent pas de prendre des prostituées qui pressentent leurs charmes sans pudeurs devant l’objectif.
Les années 1900 marquent l’âge d’or de la photographie érotique, mais les images circulent sous le manteau et les photographes sont contraints à une certaine discrétion.
Mais il arrive quand même de trouver des cartes des années 1900 qui ont circulées à découvert, pour le plus grand plaisir des facteurs.

mercredi 27 octobre 2010

Burger King c'est le roi, le roi du Ham-bur-ger.


Hier, quand j'ai été au cinéma, on a eu le droit à ça. LE DELIRE !
Kitch à souhait. Je suis fan !

Kertesz, Basquiat et Moi.


Bon je ne sais pas si je suis la seule à penser ça ou si mon avis va être partagé, mais moi, personnellement, l'aspect mercantile et "hype", "in", "mode", "fashion", "kikoolol" que suscite Jean-Michel Basquiat en ce moment, m'horripile, voire de donne envie de vomir. On en mange à toutes les sauces, c'est l'overdose, la crise de boulimie. Tout les magazines, y compris les pires torchons, parlent de Basquiat, encore et toujours, pour dire des choses plus ou moins intelligentes, mais bon, à croire que le principal c'est d'en parler, POINT. Les affiches, les émissions télés ... Basquiat, Basquiat, Basquiat. CROTTE ! Laissez-nous découvrir de nous même si l'on en a envie, mais STOP au martelage. Perso, ça me donne plus l'envie de résister au mouvement que d'aller dans son sens. J'aime pas faire les choses parce qu'on me le dit, ou parce que c'est "IN" d'aimer, surtout en matière d'art.
Jean-Michel Basquiat.

Jean-Michel Basquiat, pour moi, est un artiste, qui malgrès les 3 années d'histoire de l'art que j'ai dans les pattes, a toujours été un mystère. Je n'ai jamais réussi à comprendre pourquoi tant d'engouement autour de son art, autour de cet homme. Apres tout, que sais-je de Jean-Michel Basquiat à part qu'il était l'ami d'Andy Warhol (que j'aime énormément) et que son oeuvre est très facilement identifiable entre 1 000. Je décide donc de prendre sur moi, et de me lancer comme tant d'autres personnes en ce moment dans le monde, que dis-je, l'UNIVERS de Jean-Michel Basquiat. Au moins, après, je pourrai affirmer que j'aime ou non, en toutes connaissances de causes.

Autoportrait par Kertesz.
Je décide d'abord de visiter l'exposition au MAM de Paris, IMPOSSIBLE. A 11h, la queue est déja infernale. Je comprends très vite que sans billet coupe file l'opération s'annonce très délicate voire impossible. Tant pis, je reviendrai un autre jour, AVEC un billet coupe file. 
Je profite donc de ce contre temps pour aller me faire l'exposition sur André Kertesz au jeu de Paume, une exposition dont j'entends beaucoup parler de façon positive à l'école et dont certaines connaissances me font savoir que j'aimerai beaucoup. Je me lance, tant pis pour Basquiat, va pour KERTESZ.
J'arrive, PERSONNE aux caisses. Changement d'ambiance radical. A croire qu'ils sont tous chez Basquiat. Haha. 

Le moins que l'on puisse dire c'est avec Kertesz, on en a pour notre argent. Le jeu de Paume ne se moque pas de nous. Un nombre de clichés très impressionnant mais cela n'est pas pour autant ennuyeux, car l'exposition est divisée en plusieurs parties qui nous font découvrir ou re-decouvrir les différents aspects et les différents sujet abordés par Kertesz tout au long de sa vie. Donc on ne voit jamais les mêmes choses. Les clichés évoluent, changent, se métamorphosent. J'ai beaucoup aimé, pas tout, mais pas mal de choses. Voila un aperçu :







Ensuite, TOC, à défaut de pouvoir aller à l'exposition Basquiat, je me rabats sur le documentaire "Basquiat The Radiant Child" dont c'est pareil, j'entends beaucoup parler et qui depuis le début m'intrigue. Un document caché pendant 20 ans, donc inédit, sur un artiste un peu mystérieux pour moi, hum, bon plan pour découvrir mieux qui est cet homme. Je pense aussi que c'est quelque chose d'important pour mes études d'arts, ma culture personelle mais surtout pour pouvoir comprendre un mimimum, l'homme, l'oeuvre, le sujet, pour le jour au j'irai a l'expo. C'est une première approche de son monde.  Voici la bande annonce :


Verdict ? J'ai A-DO-RE ! A mon avis c'est THE documentaire sur Basquiat à ne pas louper. J'ai vraiment re-découvert l'homme, sa vie, son concept, ses relations avec Warhol (dont on ignore beaucoup de choses) et la façon dont il a su monter au sommet dans le domaine de l'art mais aussi rechuter de suite après. J'ai appris beaucoup, je suis touchée, que dis-je, bouleversée par ce film, et je peux dire que maintenant, j'ai vraiment HATE d'aller a l'expo. (Jeudi).

Je peux dire moi aussi maintenant, J'AIME MONSIEUR BASQUIAT, mais pour ce qu'il EST VRAIMENT.

lundi 25 octobre 2010

FIAC 2010


On va commencer par la base : Qu'est-ce que la FIAC ? (Oui parce qu'on me pose beaucoup cette question donc autant être clair dès le début.) La FIAC c'est la Foire Internationale d'Art Contemporain. THE PLACE ou des galeries du monde entier vienne exposer des oeuvres d'artistes très FAMOUS (qui sont en vente à des centaines de milliers voir des millions d'euros)  ainsi que des oeuvres d'autres artistes beaucoup moins connus mais non pas moins intéressants.

La FIAC, c'est intéressant pour découvrir des nouveaux concepts, des associations de matériaux auxquels on aurait jamais pensé, des artistes qui montent, puis surtout dire qu'on a été a la FIAC c'est faire preuve d'ouverture d'esprit, de soif de culture, de découverte et c'est surtout avoir été a THE EVENT en matière d'art de l'année.

La FIAC s'était comment ? 


- Beaucoup moins transcendant, moins délire que l'année dernière, mais de très très très jolies pièces.
- Mieux (pour la 2eme année de suite) au Grand Palais. (Faut dire que l'odeur de poubelle et spray menthol qui hante une bonne grosse partie de la salle de la cour carrée du Louvre ça fait fuir -> Résultat j'y suis restée que 45 minutes. Trop GERBANT.)
- Que le Grand Palais c'est un lieu trop CLASSE tout d'abord et que c'est agréable de voir qu'avec le monde qu'il y avait, on était pas saoulés par le bruit et qu'on pouvait respirer. On était pas agressés comparé à la cour carrée du Louvre qui est petite, bruyante et PESTILENTIELLE.
- Super classe -> J'ai vue ORLAN ! (Une grande artiste plasticienne Française, pour ceux qui connaissent pas, qui est connue pour ses nombreuse opérations chirurgicales et ses implants sur le corps, notamment sur son visage.) Je l'ai trouvée très classe, très sobre, très "dans le ton de la FIAC", très comme j'aime quoi, avec ses cheveux noirs sur une moitié du crâne et sur l'autre un blanc titane. Des paillettes sur les implants qu'elle a sur ses tempes. Je n'ai pas voulue la dérangée ni lui sortir le fameux "j'aime beaucoup ce que vous faite", je suis simplement heureuse de l'avoir vue.

La FIAC c'est aussi le rendez vous de gens d'horizons différents. Des producteurs, des artistes, des gens qui ont beaucoup d'argents, d'autres moins, des étudiants en arts, des étudiants tout court. Faut trier, les gens fréquentables et non pourris par leur argent , car ils sont rares et la plupart sont détestables. Ceux qui font des scandales parce que ils veulent pas attendre 10 minutes dehors (la FIAC ouvrait a 12h et il était 11h50) -> J'ai juste envie de dire mémé, les horaires sont écrits sur ton billet on te l'a pas caché donc assume, ceux qui te bouscule sans te dire pardon limite t'avais qu'a pas te trouver la, ceux qui voient que t'attends pour faire une photo et qui se plante juste devant toi style "je t'ai pas vu". Grrr, l'argent ne permet pas tout, flûte !

La FIAC ça a surtout été un bon moment partagé avec ma Maman et je peux dire que j'y étais, avec tout ce que cela comporte.

Un petit aperçu de ce que j'ai préféré (photos by me, of course donc merci de pas me les piquer sans demander):














dimanche 10 octobre 2010

Paris Burlesque Festival 2010

Affiche du FESTIVAL.
A l'heure ou je vous écris, je reviens tout juste de la REVUE DE PARIS. L'une des 3 revues du Paris Burlesque Festival (les deux autres étant jeudi et vendredi soir je n'ai pas pu y aller, cours oblige). Résumer en un mot ? MERVEILLEUX, MAGIQUE, SUPERBE ! (Quoi ? On a dit en UN mot ? S'était impossible .)

Toutes ces femmes, toutes plus merveilleuses les unes que les autres, qui s'assument pleinement, qui jouent avec le public, qui prennent autant de plaisir à exécuter leur numéro que nous nous en avons à les regarder. Je suis simplement admirative devant tant de grâce, de beauté, d'élégance, mais aussi devant tant de culot. Je suis envieuse, presque jalouse.

Un gros coup de coeur pour le décor de la salle (ambiance cirque, peep show, décadent), pour l'ambiance (de foliiie), pour le public qui est de tout âges, de tout styles, de tout sexes (et qui est très tolérant), pour l'animatrice et organisatrice de soirée MADAME Juliette Dragon qui est si ... Naturellement parfaite ! Pour des artistes comme Xarah Von Den Vielenregen, Lolaloo des Bois, Eva la Vamp, Vivi Valentine.

Juliette DRAGON.
Un coup de gueule ? Je dirai la chaleur épouvantable dans la salle, la petitesse de la salle (pas assez de place pour tout le monde et encore moins de places assises) et puis c'est TOUT !

Des stars du Burlesque, des artistes moins connues mais non pas moins talentueuses. Des découvertes, des coups de coeur. Je peux vous dire que je suis plus que jamais amoureuse de cette univers, de ce monde que j'aime tant, qui me fascine tant, qui m'inspire tant. J'ai qu'une hâte, être l'année prochaine pour remettre ça et pourquoi pas faire l'after pour pouvoir approcher les stars et faire la fête avec elles jusqu'à pas d'heure, voire, soyons fous, pouvoir faire TOUTES les revues. J'AIME LE BURLESQUE. (et je me moque de l'effet de mode que cela provoque, j'ai pas attendu ça pour aimer ! et TOC !)

jeudi 30 septembre 2010

" [...] vingt ans. Cet âge décourageant ou l'on croit encore que tout est possible. Tant de probabilités et tant d'illusions. Tant de coups à prendre dans la figure aussi. "
Je voudrais que quelqu'un m'attende quelque part, Anna Gavalda.